Nom : Ujk
Sexe : Féminin
Âge (en Lunes) : dix-huit lunes
Clan : Solitaire
Grade : Chat domestique
Origines : Domestiques
Race (Facultatif) : Sphynx
Famille (Facultatif) : Rubis (mère), Pharaon (père), Waoga (frère), Mjaft et Qesharak (sœurs)

Physique (minimum 7 lignes) :

Ujk ne possède vraiment pas les qualités physiques requises pour être une chatte sauvage. Sa forme ne l’invite pas vraiment à adopter la vie au plein air : fine, pas très musclée. Il lui est cependant très facile de courir vite (mais je doute fortement que cette qualité lui permette de tout faire facilement !). De plus, Ujk appartient à la race des sphynx, qui est une espèce de chat… sans poils. Imaginez-vous un chat tout rose, dont les plis de la peau sont aussi visibles que le nez au milieu de la figure, se promener dans la forêt pour traquer une souris, patauger dans un marais à la recherche de grenouilles, poursuivre un lapin à travers une lande, ou encore plonger dans une rivière déchaînée pour remonter un poisson à la surface ? Vous, peut-être, mais moi, non !
La jeune chatte possède, du coup, les autres caractéristiques d’un sphynx : une tête triangulaire, de grandes oreilles pointues. Malgré son apparence qui peut être source de toutes les moqueries, Ujk prend souvent un air noble et méprisant, assise, le dos droit, et observant les autres créatures de son regard platiné.

Caractère (minimum 7 lignes) :

Ujk n’est pas une connaissance très agréable. Elle adore particulièrement se percher sur une branche d’un arbre, et regarder ce qu’il se passe en bas, en rayant de commentaires désagréables tout ceux qui passent, qu’ils la comprennent ou non. Car elle n’a pas sa langue dans sa poche (surtout qu’elle n’en a pas), et elle dira toujours ce qu’elle pense, sans réfléchir. Pourquoi faire ? Si elle pense à quelque chose par rapport à quelqu’un, c’est mieux qu’il le sache. C’est nul de ne pas leur faire profiter ! Et au moins, elle n’aura pas à répondre à cette indiscrète question qui est « À quoi tu penses ? » !
Du à son caractère, on pourrait penser qu’Ujk est d’une nature bagarreuse. Eh bien, pas tellement, en fait. En effet, elle aime peut-être se moquer de tout le monde, mais elle a toujours été une tarte au niveau des batailles, même quand elle n’était qu’une petite boule de poils… Enfin, non, pas de poils, mais… Elle perdait tout le temps quand elle jouait avec son frère et ses sœurs, quoi ! Donc, si jamais elle se moque de quelqu’un, et qu’on vient la chercher… Elle se mettra à courir, vite, très vite, pour se réfugier chez ses Bipèdes. Lâche ? Mais non ! Juste très, très, très prudente !

Histoire (minimum 15 lignes) :

Il était une fois, dans une petite maison de campagne, un éleveur, qui s’appelait Monsieur X. Il s’était marié à Madame Y, et tous les deux étaient passionnés de chats, et surtout d’une race en particulier : le sphynx. D’ailleurs, Madame Y en possédait une femelle, Rubis, et Monsieur X en possédait un mâle, Pharaon. Les deux félins s’apprécièrent tout de suite, et alors Monsieur X, Madame Y, Rubis et Pharaon formèrent une famille heureuse et paisible.
Nous pouvions d’ailleurs annoncer que Rubis et Pharaon s’aimaient énormément, et la femelle mis bas d’une portée de quatre beaux chatons. Les propriétaires de ces chats leur donnèrent de magnifiques noms : le seul mâle s’appelait Waoga, qui signifiait peureux, car il avait l’air plutôt craintif. Les trois femelles furent nommées Mjaft, Qesharak et Ujk. La première était très jolie, la seconde marchait d’une façon rigolote, et la troisième paraissait plus sauvage et distante que les autres. Rubis et Pharaon furent en accord avec ces noms.
Monsieur X et Madame Y furent bientôt débordés par ces quatre turbulents chatons qui se chamaillaient sans cesse. Ils finirent par arriver à une triste conclusion : ils devaient s’en séparer. Ils firent une annonce bien intéressante, indiquant qu’ils donnaient quatre chatons sphynx. Quelques jours passèrent, sans qu’aucune personne ne se manifeste. Bien évidemment ! Qui voulait ce genre de créatures qui étaient les sphynx ? Pour de nombreux amateurs de félins, cette race n’était même pas considérée comme une race de chat.
Alors le grand jour arriva, où de riches Personnes (avec un grand P, elles sont très importantes !) rendirent visite à Monsieur Y et Madame X (ou l’inverse, je ne sais plus à force !). Ils semblaient très intéressés par les chatons, et les achetèrent à un bon prix. Waoga, Mjaft, Qesharak et Ujk atterrirent donc dans une grande villa, vivants comme des rois, et pouvant faire ce qu’ils voulaient.
Intéressons-nous plus particulièrement à Ujk (c’est quand même elle qui est présentée plus haut !). Une fois, en se promenant dans le grand jardin de la propriété, elle avait rencontré un chat, un avec des poils, tout maigre, que nous appelons un siamois. Il avait l’air aussi craintif que Waoga, et Ujk s’était bien moquée de lui. Cependant, il avait eu tellement peur qu’il n’était pas d’humeur à s’énerver, et alors, il eu vite fait de tout déballer avant de s’enfuir en courant. Ce qu’il déballa, c’était une histoire de chats sauvages qui vivaient dans la forêt, qui chassaient les chats de la ville et qui mangeaient des os. Ujk n’y croyait pas trop, et se disait qu’ils ne devaient plus ressembler à des chats, depuis le temps qu’ils traînaient dans la forêt. Elle finit alors par se dire que ce serait une expérience intéressante que d’aller les rencontrer pour tout savoir d’eux. Et puis, ça pourrait bien s’avérer marrant, n’est-ce pas ?

Prénom (Facultatif) : Blblbl
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