Griffe d'Acier était lové dans son nid de mousse près de Pomme de Pin sa douce compagne. Le froid sévissait, et les deux félins profitaient mutuellement de leur chaleur naturelle. Lorsque le crépuscule pointa le bout de son museau, le Lieutenant se leva, réveiller par la pâle lueur du soir. Son sommeil léger l'empêcher de profiter pleinement de ses nuits. Il lécha le cou de Pomme de Pin et sortit dehors. Un vent frais souffla sur sa fourrure, et le sol était complètement gelé. Il ouvrit les griffes pour ne pas glisser et s'approcha du faible tas de gibier, inquiet en voyant la pile complètement vide, il râla et ne prit rien. Autant que les plus faibles en profite.

Griffe d'Acier vit rentrer au même instant la patrouille du jour. Une chatte grise du nom de Nuée de Cendres s'approcha de lui, s'inclina et lui fit son rapport. Rien à signaler sur les frontières, mais, elle avait repérer une petite famille de cinq musaraigne près des Marécages. Pour cette information précieuse, le Lieutenant su la remercier. Voilà qui serait nourrir le Clan si sa patrouille pouvait les attraper.

Le mâle au poil sombre plongea de nouveau dans la tanière des guerriers pour y retrouver Pomme de Pin. Du bout de la patte il la poussa gentiment et chuchota :

- Hé tu viens chasser avec moi ? Nuée de Cendres à trouver une famille de musaraigne près des marécages, comme le tas de gibier est quasiment vide, voilà qui nous offrira une chasse fructueuse.

Lorsqu'elle lui répondit par la positive, il hocha la tête satisfait, et bondit dehors. Il l'attendit au seuil du tunnel de ronce et commença sa toilette, bien qu'il préférait que ce soit Pomme de Pin qui lui fasse. Près de lui, Affliction de Guépard venait de se réveiller à son tour. Bien qu'il ne l'apprécie pas plus qu'une boule de poil rester coincé au fond de la gorge, il s’efforça à lui proposer de les rejoindre sans aucun tact, ni aucune politesse. Le Lieutenant connaissait les qualités de chasseuse, notamment la rapidité de la chatte. Elle serait un atout pour leur patrouille. Cependant, il pria pour qu'elle refuse. Il savait que Pomme de Pin était une bien excellente chasseuse elle aussi, et que sa compagne et lui passerait un bien meilleur moment sans un avoir un autre félin dans les pattes.

Sans l'écouter davantage, ne savant pas si Affliction du Guépard avait juste répondu un simple oui, ou une approbation suivit d'une satire, il s'étira longuement, entrant et sortant ses griffes. Lorsque Pomme de Pin arriva, il lui plaça son épaisse queue sur son dos et se colla contre elle, ignorant totalement la chatte défigurer pour la laisser à l'égard, derrière. Le costaud Lieutenant dirigea ensuite la petite patrouille hors du tunnel du ronce sur les traces de cette famille de musaraigne.

Pomme de Pin était tranquillement posé, là, à côté de son compagnon, son compagnon c'est toute sa vie pour elle, elle le suivrait jusqu'au bout du monde et elle espère un jour le convaincre d'avoir des petits... Mais c'est pas gagné...

Elle sentit Griffe d'Acier se levait pour aller dehors, elle, elle se mit bien en boule pour garder la chaleur de son lieutenant. Elle dormait si bien malgré le froid qu'il y avait à l'extérieur. Puis, le guerrier gris revint vers elle pour lui proposer d'aller chasser des familles de Musaraignes que Nuée de Cendres avait aperçu dans les marécages, elle accepta à cœur joie. Elle fit une petite toilette avant de rejoindre l'élu de son cœur, il se colla à elle et l'accompagna à la sortie du camp, Affliction du Guépard, une chatte au visage défiguré, les suivirent. Ils marchèrent, du coup, au marécages pour commencer la partie de chasse, elle savait qu'avec le lieutenant la chasse serait vite terminer, mais elle devait admettre que l'autre féline était aussi une bonne chasseuse donc elle ferait aussi une chasse.

Durant la marche, il faisait froid, le vent soufflait en face d'eux, la chasseuse avait horreur d'avoir le vent froid en plein sur le visage. Pomme de Pin se colla de plus en plus à son compagnon pour profiter librement de sa chaleur corporelle et fourra parfois son museau dans la fourrure du grand mâle pour éviter l'ère glaciale. Parfois elle regardait l'autre chasseuse, qui lui faisait un peu de peine à marcher toute seule, mais elle savait que Griffe d'Acier ne pouvait pas la voir, donc la féline brune se tut et regarda en face d'elle en fermant quelque fois ses yeux...

Le noir s'était désormais installé sur l'intégralité du territoire s'étendant jusqu'à l'infini. La lune gibbeuse, haute dans le ciel démontrait que l'assemblée aurait lieu demain. La petite patrouille progressa lentement dans les fougères, et leurs pelages se fondait dans l'environnement. Griffe d'Acier en tête renifla peu à peu les effluves du charnier. D'un signe de queue, il stoppa les deux autres et s'enfonça entre les hautes herbes afin de vérifier la présence de cette famille de rongeur. Le lieutenant marcha encore un moment, cachant son imposante carrure en s'enfouissant sous les hautes herbes. Bientôt, en tendant légèrement le cou, il pu effectivement observer deux musaraignes qui grattaient frénétiquement le sol en y passant la tête. Du regard, Griffe d'Acier chercha les trois autres. Il en trouva une dans le trou d'un arbre, en boule, comme si elle hibernait. C'était sans doute la plus jeune car elle ne devait avoir qu'une ou deux lunes, pas plus. Mais il ne trouva pas les deux autres. Sans doute parti à la chasse elles aussi. Il aurait le temps de les trouver après avoir chopper ses trois là.

Griffe d'Acier revenait sur ses pas aussi discrètement qu'à l'aller et fit signe aux deux chattes de le suivre en silence en ondulant sa queue. Tapi près d'un buisson, le Lieutenant leur ordonna d'attendre son assaut pour pouvoir réussir à les attraper du bruit coup. Il distribua les tâches. Pomme de Pin et lui irait prendre les deux musaraignes qui chassait, et Affliction du Guépard attrapera la plus faible, celle qui dormait. Car de toute façon, avec un œil, c'était le moins qu'elle puisse faire. Avec sa compagne, il avait prévu de tendre une attaque appeler l'embuscade nocturne, qui consistait à surgir des ténèbres en surprise, comme un seul félin. Ses mouvements, et ceux de Pomme de Pin devait donc être coordonnée. Affliction du Guépard quant à elle devrait attaqué après eux, car, sous le feu de l'action, les deux parents ne pourront pas sauver leur progéniture.

Les deux rongeurs ne se doutait de rien. La troisième dormait toujours, et aucun signe de vue des deux autres. Griffe d'Acier se tapit dans les fougères et ordonna à son compagne de faire de même. L'attente était longue, mais il savait que ça en valait la peine. Le Clan avait besoin de ses énormes souris. Le lieutenant se décida afin à baisser sa queue -quand les deux musaraignes étaient en dehors du sol assez proche l'une de l'autre- pour signifier : Partez !

Il jaillit tel un tigre hors d'un cercle de feu et ouvrit ses griffes au vol. Ses yeux fixèrent qu'un seul point fixe, le gros mâle. Quand il atterrit sur le sol, le craquement d'os brisa le silence nocturne. Fier, il se releva et brandit sa proie de façon à se qu'on le félicite. Quand il était chaton, sa mère le flatté toujours lorsqu'il avait accomplit un exploit, même minime. Et c'était le même refrain quand il avait été nommé apprenti puis guerrier, puis Lieutenant, tout le Clan s'y était mit, et il en avait prit plaisir, tellement plaisir, qu'il était devenu aussi ambitieux au pouvoir qu'en compliment. Il voulait constamment que chaque membre de son Clan l'acclame quand il avait fait quelque chose de bien.

Alors qu'il regardait si ses camarades avaient elles aussi attrapé leur part, il ne sentait pas le sang perlait le long de son épaule. Le craquement précédant était-il celui de sa proie morte ou bien celui de son épaule ?

For PNJ :

Griffe d'Acier & Pomme de Pin & Affliction du Guépard

J'ai bien crus que le chemin durera une éternité. Les deux tourtereaux étaient devant moi, et justement, j'étais juste derrière. Que je sois exclue du Clan ne me dérange pas, puisque je me fiche de leurs avis sur mon comportement. Je me fiche aussi que les deux chats devant moi restent ensemble, sans moi, car je détestes rester à côté de mon Lieutenant. Je ne le supporte pas.
D'un signe, nous nous arrêtons, ensemble. Enfin arrivés. En jettant quelques regards, Griffe d'Acier s'enfonce donc dans les buissons, me laissant seule, moi et Pomme de Pin. A vrais dire, je ne connais presque pas cette chatte. Mais je suis tout de même intriguée par sa façon de supporter cette crotte de souris, qui est son compagnon. Peut-être me parle-t-elle, ou peut-être que non. Mais je n'entends pas, et je suis plutôt attentive au retour du mâle sombre. Car j'ai bien envie de trancher quelqu'un.
Finalement, celui-ci revient vers nous et nous le suivons toutes deux, ma masse imposante cachée dans les buissons. Lorsqu'il distribue les tâches, je fronce les sourcils. Bien sûr, c'est à moi de prendre la plus faible. Un jeu d'enfant ! Même si il me manque un oeil, je m'adapte, et je sais aussi bien chasser que ces deux chats. J'attends donc, le signal, et le couple bondit, chacun sa proie. Une seconde plus tard, je surgis moi aussi des buissons et j'assène un violent coup de patte sur son dos. Celle-ci se réveille et se débat de toutes ses forces lorsque mes crocs se plantent dans sa nuque, ne manquant pas de me taillader le museau. Peu de sang coule, mais je lui assène une dernière morsure au niveau du crâne suivit d'un coup de griffe au niveau du ventre et je me tourne vers mes camarades de chasse. Est-ce me sang de ma proie qui coule sur mon pelage, ou mon propre sang ?

(c) Madouce sur Epicode

HRP:

for PNG:

Les corps des musaraignes tombent, les ennemis semblent se faire moins nombreux. Affliction du Guépard a eu une légère coupure sur le museau d'une bestiole vorace, mais rien de grave, la blessure arrête déjà de saigner. Vous avez le dessus et les musaraignes semblent être en proie à la frayeur. Vous avancez, victorieux, pour les achever. Ne baissez pas pour autant votre garde car tout n'est pas terminé ! Un groupe de musaraignes surgissant soudainement a réussi à entraîner Pomme de Pin à l'écart pour l'encercler. Il faut l'aider, et vite !

Le tour de Pomme de Pin est passé, Griffe d'Acier a jusqu'au 15 pour répondre.

La victoire, Griffe d'Acier savourer sa propre réussite puisqu'il avait finalement achevé sa proie. Le Lieutenant tourna la tête vers Affliction du Guépard qui avait elle aussi réussit à chopper la petite musaraigne, mais elle ne s'en était pas sorti sans blessure. Il soupira bruyamment lui faisant comprendre son exaspération. La guerrière n'était même pas capable d'exécuter un sans faute sur un travail facile, même le dernier né de la pouponnière aurait chassé mieux qu'elle. Griffe d'Acier se lécha ensuite une patte et examina une blessure invisible sur son épaule.

Soudain, un faible bruit retentit, le Lieutenant regarda par-dessus son épaule et vit arriver un groupe de musaraigne en colère. Pris au dépourvu, Griffe d'Acier poussa un petit cri de surprise. Avant qu'il n'est eu le temps de réagir, la petite armée avait déjà eu le temps réussit à entraîner sa chère Pomme de Pin à l'écart pour l'encercler. N'écoutant que son courage, mais aussi son coeur, le gros matou brun se jeta dans la mêler sans réfléchit, ce qui ne fut pas sans conséquence. Battre des rongeurs étaient cependant plus difficile que de se combattre contre des félins car les musaraignes avaient des dents puissantes, longues, arquées, solidement implantées dans les alvéoles, taillées en biseau et au nombre de deux à chaque mâchoire.

Ces animaux les plantèrent ensemble sur son épaule, sa queue, sa patte avant et son ventre. Le Lieutenant se débattait comme il le pouvait, se servant de ses griffes aiguisées. La nature lui avait fait cadeau de si belles griffes et il savait les utiliser. La première qu'il retira était celle accrochée à sa patte avant, ainsi, il fut plus libre de ses mouvements.

Une des musaraignes un peu sonné qu'il avait envoyé plus loin avant qu'elle ne le touche revient à la charge visant sa gorge, d'un rapide coup de queue, Griffe d'Acier recommença son acte faisant voler les deux rongeurs à la fois. Il sentait son sang se déverser lentement sur l'herbe fraîche et l'odeur âcre l'empêchait de se concentrer. C'est avec rage qu'il se débattait, mais à chaque fois qu'il envoyer ses proies lui loin pour tenter de tuer les autres, elle revenait aussitôt à la charger, il y en avait trop, beaucoup trop pour lui tout seul. Si ces musaraignes ne sortaient pas seulement pour défendre leurs camarades, alors le clan ne mourraient jamais de faim. Griffe d'Acier et ses compagnons de chasse devaient tous les achevés, afin, le clan pourrait festoyer devant ce merveilleux repas.

Alors qu'il commençait à se fatiguer peu à peu, il vit surgir Affliction du Guépard, rapidement, elle lui ôta la musaraigne planter derrière son dos et la tua. Jamais Griffe d'Acier n'avait été aussi enthousiasme à l'idée que la guerrière abîmé se batte à ses côtés. En général, le Lieutenant ne faisait pas de différence entre mâle et femelle sur le champ de bataille et c'est pour cette raison qu'il fut un minimum reconnaissant envers sa camarade sans pour autant le lui dire.

Griffe d'Acier avait de plus en plus de mal à tenir le rythme, mais il s'accrocha, abandonner était une proposition inenvisageable pour le fier et tenace Lieutenant. Une musaraigne bondit et plantant ses incisives sur la joue du matou imposant. Le sang des deux félins et des rongeurs étaient si rependus dans tout le marécage qu'on aurait dit qu'une véritable guerre entre deux clans avait eu lieu.

Cette embuscade vous prend par surprise. Les musaraignes semblent plus organisées que prévues. Pourtant, devant la résistance des guerriers, les bêtes ne font pas le poids. Alors que vous combattez les musaraignes vous voyez que certaines commencent à fuir, apeurées. Vous vous laissez gagner par l'espoir : il est temps de mener l'assaut final.

« Nous devons nous serrer les coudes, juste pour le combat ! Sinon, on risque d'y passer...! »

Hurla Affliction du Guépard. Une lueur de rage scintillait de son seul œil valide et elle saignait à l'endroit même de sa cicatrice. La sienne aussi s'était ré-ouverte, le sang coulait abondamment entre ses yeux et son museau. Continuer serait du suicide car ils étaient inférieur en nombre. Mais, le Lieutenant refusait d'abandonner lui aussi, toutes les musaraignes tués seraient un repas d'offert pour son Clan. Il acquiesça donc en grommelant légèrement, n'acceptant pas l'idée de se faire assisté par une femelle borgne bonne pour rejoindre le Clan des Etoiles.

Seulement, tout n'était pas aussi facile qu'il l'aurait imaginé puisque les rongeurs étaient terriblement organisés. Ils les encerclèrent davantage comme pour les obliger à se serrer et s'avancèrent avec vélocité vers les félins. D'un coup de patte vigoureux Griffe d'Acier en envoyèrent quelqu'une en l'air, mais l'une entre elles riposta en prenant sa grosse patte comme appuie pour venir lui planter ses incisives dans la joue gauche du Lieutenant. Ce dernier hurla de douleur et l'arracha de son étreinte. Le sang coulait abondamment, cependant, dans la rage, l'action et surtout la douleur, le corps de la musaraigne à moitié aplatit pendait entre les griffes du Lieutenant comme s'il l'avait compressé. Horrifié devant cette scène la plupart des rongeurs décampèrent en poussant des cris apeurés. Une lueur d'espoir s'installa dans le cœur du matou.

Peu à peu, l'énergie de Griffe d'Acier s'épuisait, respirer était presque devenu un challenge. Il ne devait pas abandonner si près du but. Le gros matou tourna la tête en direction de sa compagne. Elle n'était plus là. D'abord vexé puis ensuite soulagé, le Lieutenant savait qu'elle était désormais à l'abri et qu'elle ne risquait rien. Etait-elle partie chercher du renfort ? Ou alors, au contraire avait-elle besoin d'aide ? Quoi qu'il en soit, le puissant Lieutenant n'eu pas le temps de réfléchir plus temps. En t'entendant des cris qui provenait de derrière son dos il sauta sur ses proies pour dégager Affliction du Guépard.

Il restait quasiment deux douzaines de musaraigne dans le marécage ensanglanté. Plus de la moitié avaient décampés en couinant, l'autre moitié servirait de festin aux membres de Clan de l'Ombre affamé depuis le début de la saison des neiges. Ce que le Lieutenant ne savait pas expliqué c'était le nombre effroyable de ce type de rongeur. Pourquoi ne se montraient-elles pas de nuit comme de jour ? Sur le sol, il y avait plus de dix musaraignes sans vie. En temps normal en débusquer ne serait-ce que deux en cette saison, aurait pris plus de quatre lever de soleil.

Devant cette minutieuse organisation ainsi que cette nouvelle stratégie dont les gros rongeurs brun avaient su faire preuve, les deux félins semblaient être passés du stade de prédateur à proie. Une situation aussi bien inconfortable, qu'inhabituelle pour Griffe d'Acier. Eux aussi allez devoir structurer un plan, et vite.

La joue du Lieutenant saigner toujours, quoiqu'un peu moins depuis qu'il avait pris soin de la frotter avec sa patte, mais il sentait toujours la sensation du sang perlant doucement. Méthodiquement, le chat au poil sombre effectua une analyse pendant qu'il se battait en esquiva le plus de coup possible. Affaiblit, il monta à un arbre afin de mieux réfléchir.

Puisqu'elles étaient désormais vingt-quatre, séparé en deux, elles seraient douze. Douze musaraignes pour un chat était bien plus simple à vaincre que vingt-quatre pour deux. Rester plus qu'à instaurer une stratégie afin de les séparer en groupe de deux. Griffe d'Acier peinait à rester percher du haut de son arbre. Ses pattes tremblèrent sous la branche auquelle il se tenait. Le sol n'était pas bien bas, pourtant, le Lieutenant se sentait pris de vertige atroce. Il ne parvenait plus à réfléchir correctement.

Il lança finalement l'assaut finale, laissant ce qui lui rester d'énergie dans une tempête de rage. Entre crocs et griffes. Affliction du Guépard était toucher elle aussi, mais surement moins que lui. Un petit morceau de chair avait été emporté lorsqu'il s'était fait mordre à la joue. A elle avait réussit, à elle seule, pendant qu'il reprenait des forces -qu'il n'était pas parvenu à reprendre- à tuer trois musaraignes. Quatre avaient pris la fuite. Il n'en rester plus qu'un faible nombre. Griffe d'Acier en prit une dans ses crocs et bondit hors du groupe qui était rassembler près de la femelle. Cinq d'entre elles à sa poursuite. Avec deux, trois coups de mâchoire, le rongeur qu'il avait encore les crocs succomba. Il garda tout de même des petits traces de griffure sous la bouche. Il fit face aux cinq autres en se levant sur ses pattes arrières et en les griffant chacune à tour de rôle sur des parties aléatoires du corps. Elles partirent aussitôt sans demander leur reste.

De son côté, sa camarade avaient éliminé une si bonne partie des musaraignes, qu'il en rester plus que six. Griffe d'Acier tient bon jusqu'au bout. L'une d'entre d'elle lui sauta sur le visage, lui ré-ouvrant sa cicatrice. D'un coup de griffe, il s'en dégagea, puis la bestiole détala à son tour.

Le Lieutenant avait cesser de compter avec combien de rongeur il s'était battu. Tout ce qu'il savait c'est qu'à présent, le marécage était complétement vide. Les yeux mi clos, les pattes flageolantes, la joue et sa cicatrice saignant, Griffe d'Acier n'avait plus d'énergie. Il ne sentait même pas la force de entrée au camp avec ses proies. A cette instant, le matou au pelage sombre ne se soucier plus de rien mis à part de sa santé. Il vacilla un moment, voyant trouble et se laissa tomber sur le sol.